vendredi 18 février 2011

Poussière d'ange, Ariane Moffatt


Un commencement mélodieux introduit cette superbe chanson d'Ariane Moffatt, un trésor de la musique québécoise. Quelques notes au piano sont jouées, ensuite le récit de la chanteuse commence en chanson, au "tu". On se sent alors extrêmement concerné et ce même si la chanson traite d'un sujet difficile, soit l'avortement. En effet, Ariane Moffatt tente par son oeuvre de convaincre une personne, qui n'est pas nommée, de ne pas poser ce geste.
Cette chanson est incroyable, car même si le sujet nommé ci-haut est intégralement le thème principal de la chanson et que ce dernier est très dur à aborder, nous sentons tout de même de l'espoir. Peut-être à cause des instruments ou de la jolie voix d'Ariane Moffatt, ça permet de croire que même dans les moments les plus ardus, il y a une lueur d'espoir, une poussière d'ange. Même si des événements n'arrivent pas au bon moment, ce n'est pas grave, tout a du positif.


















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- [En ligne], [http://www.telerama.fr/musique/ariane-moffatt-sur-scene-comme-au-ciel,49713.php], consulté le vendredi 18
février 2011.

- [En ligne], [http://www.lastfm.fr/music/Ariane+Moffatt/+images/5460352], consulté le vendredi 18 février 2011.

Armistice


Armistice, une pause, un arrêt, la paix. C'est facile de faire la paix avec ce nouveau projet musical, créé par deux talentueux musiciens, qui est excellent, touchant.

Composé d'uniquement cinq chansons, le premier album du groupe Armistice, en anglais, est une véritable réussite. Formé par le couple de Béatrice Martin, alias Coeur de pirate, et Jay Malinowski, guitariste et chanteur du groupe Bedouin Soundclash, leur première oeuvre conjugale a des airs de flamenco, de reggae, de guitares mexicaines et plus encore.

Ce qui rend le tout intéressant, selon moi, c'est qu'à la première écoute de l'album je ne savais presque pas à quoi m'attendre pour chaque chanson, tout était surprise. Et quelles bonnes surprises ai-je eu le chance d'entendre! De plus, ce qui est charmant c'est le fait de
véritablement sentir l'amour dans l'air à travers la voix des deux artistes, et ce, dans chaque chanson. Nous pouvons dire que ce CD a en lui cinq véritables bijoux, dont les chansons Neon Love et Mission Bells.

Ce fut aussi bien d'entendre une Coeur de pirate complètement hors de son élément, mettant le piano et les paroles parfois un peu mélancoliques de côté. Nous avons cependant la chance de retrouver sa voix tout aussi angélique qu'avant, dans des mélodies qui l'avantage énormément.

L'album est aussi un contraste brillant, rares sont les moments où nous entendons des chansons d'amour dans des airs de pays du sud. C'est original et cette
idée est superbement bien exploitée. Ce n'est pas du tout conventionnel pour les deux chanteurs, mais vraiment réussi.


Romantique, spécial, hors du commun, à avoir.

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- [En ligne], [http://tranquillementpasvite.wordpress.com/2011/02/11/beatrice-martin-s’evade-de-coeur-de-pirate-pour-armistice/], consulté le vendredi 18 février 2011.

- [En ligne], [http://musique.portail.free.fr/clip-du-jour/15-02-2011/mission-bells-un-armistice-signe-cur-de-pirate/], consulté le vendredi 18 février 2011.

lundi 14 février 2011

I Thought I Saw Your Face Today


C'est en visionnant le superbe film 500 days of Summer que j'ai découvert l'actrice Zooey Deschanel. Peu après, j'ai su quelle était la chanteuse du duo She & Him, composé aussi de M. Ward.

Leur premier album, intitulé Volume One, est vraiment un incontournable pour les fans de "Indie Rock". Je l'ai adoré, je devais donc bien évidemment parlé d'une de leurs chanson. Le choix fût difficile. J'ai longuement hésité entre Why Do You Let Me Stay Here et celle dont je vais vous parler. Les deux sont géniales, mais la deuxième est moins connue. Voilà pourquoi j'ai opté pour elle, une partie de mon but est tout de même de vous faire découvrir des petites merveilles.
I Thought I Saw Your Face Today a de jolies paroles, qui parlent d'amour. D'un amour terminé, visiblement pas encore guéri. La chanson n'est cependant pas mélancolique ou ne donne pas envie de pleurer, il y a même un aspect joyeux à la mélodie (comme au moment où nous pouvons entendre des personnes siffler.).

Elle est enivrante, nous rappelle les années soixante, les simples mélodies chantées sur le bord de la plage, le soleil dans les yeux. La chanson est très personnalisée par la compositrice, Zooey elle-même, on peut avoir la sensation que l'on nous confie quelque chose, une histoire secrète, cachée.

La chanson peut aussi être la porte-parole d'un sentiment universel. Le fait de fuir, comme ici, où la personne a fuit son ancien amoureux après avoir pensé voir son visage, de peur, peut-être d'aimer à nouveau? Mais la chanson se fait aussi la messagère de l'espoir, de l'optimisme en disant qu'il faut savoir apprécier même ce qui est éphémère.

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- [En ligne], [http://www.lastfm.fr/music/She%2B%2526%2BHim/+images/22284569], consulté le lundi 14 février 2011.

- [En ligne], [http://www.lastfm.fr/music/She%2B%2526%2BHim/+images/17360505], consulté le lundi 14 février 2011.

dimanche 13 février 2011

L'âge des ténèbres, Denys Arcand


Avec une distribution imposante composée de Marc Labrèche, Macha Grenon, Didier Lucien, Sylvie Léonard et plusieurs autres, ce film est d'une originalité irréprochable, mais d'une intrigue qui ne s'achève pas.

Parsemé de bonnes blagues ici et là, le film raconte l'histoire d'un homme typique et de sa vie banale. Cette homme est Jean-Marc Leblanc et vit dans une banlieue, a deux filles pour qui il est invisible et une femme qui est plus amoureuse de sa vie professionnelle que de son marie lui-même. Tout le long du film, ce qui est intéressant, c'est que nous accédons très souvent aux pensées de Jean-Marc. Cela produit un contraste entre la réalité et l'imaginaire de l'homme blasé, très réussi par Marc Labrèche, qui donne un caractère original au film, qui est très fantaisiste et marginal. Cependant, cela peut le rendre dur à suivre par moments.

Malgré toute cette authenticité que Denys Arcand a su apporter a son film, ce dernier comporte plusieurs longueurs et peu de suspens. En effet, le dernier quart d'heure du film et quelques longues scènes sans grand intérêt auraient pu être raccourcies, car nous savons comment il termine, il n'est donc pas nécessaire d'en rajouter. De plus, le scénario n'était pas très crédible et du coup, le jeu de certains comédiens ne l'était pas.

Malgré quelques failles nommées ci-haut, ce film vaut la peine, surtout par l'humour qui y est inséré, mais il ne faut pas avoir trop d'attentes, surtout envers la fin.

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- [En ligne], [http://www.renaud-bray.com/Films_Produit.aspx?id=940984&def=Age+des+ténèbres+(l')%2CARCAND+DENYS%2CMCA201132002], consulté le dimanche 13 février 2011.

samedi 12 février 2011

Tant qu'il y aura des hommes, 1953


Réalisé en 1953, avec de grands noms tels Montgomery Clift, Frank Sinatra et Deborah Kerr, ce film nous montre la véritable vie des soldats établis à la base navale de Pearl Harbor, à Hawaii, avant l'historique attaque de 1941. Sans censure, avec un humour subtil, nous pouvons voir la vie de trois soldats, dont un est rongé d'un amour impossible, l'autre d'un secret horrible et d'une douleur non-cicatrisée et le troisième aime prendre des risques....., peut-être sans réellement réfléchir à ceux-ci.

Baignés dans l'alcool, nous suivons le cour de la vie des ces trois hommes et leur entourage jusqu'aux dénouements imprévisibles du film.
Avec quelques longueurs anodines, From Here to Eternity est un grand film avec plusieurs scènes mémorables qui sont gravées dans notre inconscient (comme la scène romantique sur la plage où Burt Lancaster et Deborah Kerr ont rendez-vous. Cette scène peut nous faire penser à un moment du film The Notebook.). Plusieurs de ces scènes sont d'ailleurs souvent reprises dans le cinéma de nos jours, comme quoi nous n'oublions pas les classiques.

Images en provenance de:
- [En ligne], [http://www.militaryphotos.net/forums/showthread.php?167475-What-Distinctive-Unit-Insignia-is-this], consulté le samedi 12 février 2011.
- [En ligne], [http://openwalls.com/wallpapers?search=burt], consulté le samedi 12 février 2011.

mercredi 9 février 2011

Casablanca, 1943



Entre deux regards enivrants qu'offre l'acteur Humphrey Bogart à l'actrice Ingrid Bergman, toutes les scènes de ce film sont intrigantes, remplies de suspens.....

Excellent film de 1943 réalisé par Michael Curtiz, Casablanca relate l'épopée fulgurante de plusieurs personnages ayant tous un même but précis: aller en Amérique.

En effet, lors de cette histoire nous rencontrons un grand nombre de personnages avec une psychologie mystérieuse, et un passé qui l'est tout autant, comme Richard (Humphrey Bogart) et Ilsa (Ingrid Bergman).

Film propagandiste (nous n'avons qu'à pensé au moment où les clients d'un restaurant se mettent à chanter La Marseillaise), Curtiz a fait un grand risque en réalisant ce film lorsque la deuxième guerre mondiale n'étant pas terminée, en allant presque jusqu'à prévoir la perte de la guerre par les nazis. Il y a quelques allusions subtiles à ce niveau.

Très intense, très années 50, ce film, qui comporte beaucoup d'intrigues psychologiques, est sûrement l'un des plus grands chef d'oeuvre du cinéma américain, avec raison. Intemporel, on en parle et le regarde encore de nos jours, avec raison, tout en écoutant son "hymne": As Time Goes By.


Images en provenance de:
- [En ligne], [http://fr.wikipedia.org/wiki/Casablanca_(film)], consulté le mercredi 9 février 2011.
- [En ligne], [http://avisdici.files.wordpress.com/2008/11/casablanca-poster-c10084167.jpg], consulté le mercredi 9 février 2011.

mardi 8 février 2011

Au 27-100 Rue Des Partances


J'adore Pierre Lapointe depuis quelques années. J'aime presque tout (si ce n'est pas absolument tout!) ce qu'il fait, allant deses mélodies enivrantes au piano à ses chansons plus éclatées, car on le sait bien, il aime aller d'un extrême à l'autre!
Ma chanson favorite de lui, tirée de l'album La Des Mal-Aimés, c'est Au 27-100 Rue Des Partances. Elle parle d'enfance, de regrets, de maladresses, de pardon. Bref, cette chanson c'est la nostalgie.

Avec un petit air européen et un piano avec une allure enjouée, la voix de Pierre Lapointe est douce à entendre, c'est comme se faire raconter une histoire ou chanter une berceuse avant d'aller dormir. Les métaphores utilisées sont pensées, les paroles sont réalistes. Ça parle du passé: quelque chose qui habite chacun de nous, mais dont nous pouvons avoir peur. Joyeux ou triste, il a grandit en nous et il faut pensé à ses beaux moments lorsque tout va moins bien. Un sentiment universel que Lapointe décrit là.
Le fait que la chanson soit une adresse de maison donne un aspect amical à la chanson, nous avons l'impression de connaître le chanteur, de faire parti de ses souvenirs. L'utilisation répétée du "tu" approfondi ce sentiment, un sentiment humain.

Très jolie, on ne s'en lasse pas de cette chanson. Si vous appréciez Pierre Lapointe et son oeuvre, voici quelques titres à connaître:

- Au Bar Des Suicidés, - Qu'en Est-Il De La Chance?, - Dans La Forêt Des Mal-Aimés, - Le Lion Imberbe, - Le Magnétisme Des Aimants, - Deux Par Deux Rassemblés.

Images en provenance de:
- [En ligne], [http://www.voir.ca/blogs/popculture_gatineau/PierreLapointe2.jpg], consulté le mardi 8 février 2011.
- [En ligne], [http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/disques/200904/02/01-843044-pierre-lapointe-les-soleils-qui-pleurent.php], consulté le mardi 8 février 2011.

Vacances romaines, 1953

Réalisée par William Wyler, cette comédie romantique est ravissante et rafraîchissante, même si elle est en noir et blanc. Ce film a un petit je-ne-sais-quoi, une étincelle, qui le rend spécial et unique dans toute sa simplicité, car il faut l'avouer, l'histoire en tant que telle est un peu déjà-vu.

Elle relate l'histoire de la jeune princesse Anne(parfaitement interprétée par Audrey Hepburn, qui lui vaudra l'Oscar de la meilleure actrice) qui fait une tournée des villes européennes. Fatiguée des bals, des réceptions, des conférences de presse, de la vie rangée et organisée de princesse, Anne décide, une fois à Rome, de se sauver de son palais, après une querelle avec une domestique.

Une fois enfuie, elle rencontre un charmant journaliste (Gregory Peck) chez qui elle passera la nuit. Au lendemain, le journaliste, qui est à la recherche d'un "scoop" saura qui est cette inconnue qui dort dans son lit.....

Humoristique et adorable, c'est ce qui peut le mieux décrire ce film merveilleusement réalisé dans la capitale italienne, Rome. Si vous aimez les films d'époque, l'icône du cinéma Audrey Hepburn et regarder des film simples un dimanche matin sans avoir à trop réfléchir, ce film est le parfait compris! Vraiment charmant.

PS: voici trois autres films d'Audrey Hepburn que j'ai vraiment apprécié et qui sont des classiques: Breakfast at Tiffany's (1961), My Fair Lady (1964) et Sabrina (1954).

Images trouvées sur les sites:

- [En ligne], [http://fr.wikipedia.org/wiki/Vacances_romaines], consulté le mardi 8 février 2011.

- [En ligne], [http://www.mediafilm.ca/multimedias//0roman_holiday.jpg], consulté le mardi 8 février 2011.

dimanche 6 février 2011

La Vita e bella, Roberto Benigni


Il y avait quelques années que j'entendais parler du film La Vita e bella, connu sous le titre La Vie est belle en français. On me disait à quel point ce long-métrage est un chef d'oeuvre moderne, un film extrêmement touchant, allant droit au coeur. Après l'avoir terminé ce matin, je suis d'accord avec tous les commentaires positifs que l'on m'avait dit au sujet de cette oeuvre de 1997 sans hésitation.

Ce film, c'est un mélange d'émotions qui attaquent au même moment. Pas rares sont les moments où j'ai pleuré, le sourire aux lèvres. J'ai été submergée de joie, de tristesse, de compassion, de colère, d'incompréhension, d'angoisse, etc. Tout au long de l'histoire sans exception. Roberto Benigni est un véritable génie et ce film le démontre brillamment. C'est la joie de vivre à son comble, et le déchirement à son plus profond.

Pour décrire le film en peu de mots, c'est l'histoire d'un père italien, amoureux de la vie et Juif, qui est prêt à tout pour séduire celle qu'il aime et par la suite, sauver son petit garçon lorsque la famille se retrouve dans un camp de concentration.

Franchement magnifique, autant au niveau de l'interprétation des personnages, qui sont superbement attachants, qu'au niveau des blagues subtiles et comiques insérées dans des scènes dramatiques ou des frissons que l'on ressent, des larmes qu'il provoque ou de l'admiration qu'il évoque en nous, autant au niveau de la famille de Guido qu'au réalisateur du film lui-même, ce film est sublime, pas étonnant qu'il ait remporté plusieurs prix dont celui meilleur film étranger aux Oscars en 1997, à voir.

Image: [En ligne], [http://caitlinsn8.blogspot.com/2010/12/la-vie-est-belle.html], consulté le dimanche 6 février 2011.

La Belle et la Bête, aujourd'hui


Quand je sais que je vais au théâtre, j'ai toujours hâte à cette fameuse journée. Hâte de voir le spectacle avec tout ce que cela comporte: la prestation des comédiens, la mise en scène, le scénario, les costumes, l'attirance de la foule et bien plus encore.
Cette semaine, j'avais encore plus hâte, parce que j'allais voir La Belle et la Bête au TNM. Premièrement, pour le si beau conte que c'est, pour tous les souvenirs d'enfance qui y sont reliés et deuxièmement, parce que Bénédicte Décary y joue Belle et j'avais adoré sa prestation dans le film sur André Fortin: Dédé à travers les brumes.
Malheureusement, j'ai été déçue sur plusieurs points.
J'ai trouvé que la pièce manquait de crédibilité, sûrement à cause du scénario qui était assez poétique, et à cause de la manière dont les acteurs le récitait. Certains peuvent penser que cela donnait un beau contraste avec la modernité du conte, mais cela m'a plus agacé personnellement. Par le fait même, j'ai trouvé alors que le jeu des comédiens n'était pas à son meilleur.
Cependant, j'ai été très impressionnée par le multimédia, qui remplaçait les décors comme on les connaît. C'était brillant et très bien fait. C'est ce qui rend cette pièce spéciale et unique en son genre. Un moment multimédia qui m'a particulièrement plu est lorsque François Papineau, incarnant la Bête, se bat contre lui même, ça apporte une belle métaphore. Par contre, peut-être que trop d'efforts ont été mis dans ce multimédia et pas assez ailleurs.....

PS: si vous avez l'intention d'aller voir un véritable conte de fées en allant assister à cette pièce, détrompez-vous! C'est très contemporain et ça n'a rien à voir à l'histoire de princesse de Walt Disney. Ce fût bien transposé à la modernité de notre époque, mais encore une fois, le fait que le scénario était trop poétique et que les dialogues pas assez réalistes, nous sommes comme pris au piège entre deux époques.....

Image: [En ligne], [http://www.tnm.qc.ca/saison-2010-2011/La-Belle-et-la-Bete/La-Belle-et-la-Bete.html], consulté le dimanche 6 février 2011.

vendredi 21 janvier 2011

True Colors




J'ai fait une belle découverte et je veux la partager avec vous. C'est une reprise de la chanson "True Colors" de Cyndi Lauper, par nul autre que Béatrice Martin alias Coeur de pirate.

Accompagnée par son éternel piano, cette reprise commence doucement avec quelques notes pour ensuite aller en crescendo. Nous pouvons d'ailleurs entendre des bruits urbains au début, ce qui peut nous laisser l'impression que la chanteuse de Montréal joue de son clavier à l'extérieur, dans une ambiance hors studio. Ça peut ajouter une touche plus intime à la chanson.

L'unique et douce voix de Coeur de pirate peut donner un aspect enfantin à la chanson pour certains, mais je trouve qu'elle apporte une atmosphère angélique, féérique. L'accent anglophone de la jeune fille de 22 ans est aussi très bien.

*Photos en provenance de:
- [En ligne], [http://www.lejdd.fr/Culture/Musique/Images/Des-Victoires-en-chantant/coeur-de-pirate-victoires-de-la-musique-177535/], consulté le 22 janvier 2011.

- [En ligne], [http://www.photocomptoir.com/live/Coeur%20de%20Pirate%20(Olympia%2009)/slides/], consulté le 22 janvier 2011.

jeudi 6 janvier 2011

La rue Sainte-Catherine fait la une


On a tous déjà mis les pieds sur la rue Sainte-Catherine, au coeur de la métropole.
Hier, je suis allée dans le Vieux-Montréal afin d'assister à l'exposition du musé Pointe-à-Callière s'intitulant: La rue Sainte-Catherine fait la une!

Le niveau 1 de l'établissement était alors consacré entièrement à l'histoire, des années 1700 à aujourd'hui, de la rue Sainte-Catherine, artère de la ville de Montréal depuis bien des années.


J'ai trouvé l'exposition très intéressante, je suis heureuse d'y être allée, quoique j'avoue avoir été un peu déçue. En effet, il était difficile de se repérer aucours de la visite, qui a durée environ une heure, car ce n'était pas séparé chronologiquement, mais bien en thème. Je me suis alors perdue dans mes époques. De plus, bien que j'ai eu la chance d'en apprendre beaucoup sur la fameuse rue, surtout des faits divers, je ne me suis pas sentie particulièrement touchée par plusieurs événements dont la visite parlait. Cependant, plusieurs visiteurs plus âgés ont semblé nostalgique et se remémorer quelques souvenirs. Je pense donc qu'ils
ont plus apprécié la visite que moi, s'étant sentis plus conc
ernés et c'est normal.

C'est donc une visite d'une assez courte durée qui en vaut le détour, mais il ne faut pas s'attendre à l'exposition du siècle. De plus, les montréalais ayant vécu à fond la rue Sainte-Catherine au cours des années 60-70-80 risqueront de mieux comprendre certains aspects de la visite ainsi que de se remémorer de beaux ou moins beaux moments, avec cette rue comme témoin, elle brille de tous ses feux dans cette exposition qui est très jolie, mais ce n'est pas assez.






Image en provenance de:
- [En ligne], [http://www.google.ca/imgres?imgurl=http://voyages.ameriquebec.net/], consulté le 6 janvier 2011.